Omelette norvégienne 14 : Où ils ont bien failli finir fumés comme des harengs ...
Mes petits biquets, pas la peine de me faire les gros yeux, il y a effectivement de nombreuses cases qui manquent et ce calendrier de l'avent est super diet. C'est comme ça la vie, parfois, on aimerait vraiment venir raconter des bêtises, mais c'est juste pas possible... Je la fais courte ? Allez, les plaisanteries les plus courtes étant toujours les meilleures allons-y !
L'autre jour, il Professore était allé porter la bonne parole à la capitale et avait loupé le train du retour. N'écoutant que son courage et la folle envie de nous retrouver, il est quand même rentré. Tard. A une heure où je dors d'habitude comme un loir. Comme deux loirs bourrés, même. En entendant un drôle de bruit -normal dans une vieille maison- il décide d'aller voir. La suite est allée très vite, je l'ai juste entendu beugler "Caaaaaherine, tu sors avec les enfants, y'a le feeeeeeuuuuu".
Vite vite, les manteaux sur les pyj', la fumée, drig dring drriiiiiiiiinnng chez les voisins, l'exctincteur, les pompiers... Oooouuuf !!! Le cul bordé de nouilles je vous dis. Un peu de sueur froide, un peu de campement à droite à gauche, une maison qui nous tombe du ciel, tout est finalement très vite rentré dans l'ordre.
Je sais je j'exagère, mais les pâtisseries tunisiennes dans les moments de détresse, c'est souverain (un jour je vous parlerai des loukoums de la rose de Tunis sur lesquels j'ai fantasmé comme une folle ...) Et puis comme je suis un peu plus à l'ouest que d'habitude , j'ai le droit de dire plus de bêtises que d'habitude : dites aux amours de votre vie que vous les aimez, serrez les dans vos bras, faites leur des baisers, faites leur des câlins et chérissez les !