kinder # 7 : le cadeau de Noël retrouvé
Ah oui, voilà, je sais de quoi je voulais vous parler. Figurez vous que je viens de retrouver un cadeau de Noël de l'année dernière, et que je viens de passer une semaine avec Alain Bashung. J'avais un peu honte, mais je n'avais pas encore lu cette biographie offerte par ma soeur. Elle était là, à côté de tout un tas de livres de gangsters que je lui ai préféré depuis décembre dernier. Et puis son tour est venu. A point. Au poil. Il est beau ce livre. C'est fou ça, on connaît la fin, mais on attend avec impatience que ça arrive. Bijou bijou, Gaby tout ça... jusqu'à la dernière petite larme qu'on ne peut pas s'empêcher de verser à la fin (merci Agnès, c'est malin)
C'est marrant, mais ça m'a donné envie de réécouter des tas de trucs. Dont j'ai bien évidemment perdu toute trace dans ma discothèque. Comme Lavilliers. J'ai envie de me faire une cure de Bernard. Parce que je ne suis pas raciste, j'aime aussi les chanteurs blancs. Et Lavilliers un peu plus. Enfin je dis ça parce que ça fait longtemps que je ne l'ai pas écouté, si ça se trouve, je vais arrêter au bout de deux sedondes. Mais je ne crois pas. J'ai vu qu'ils ressortaient "le Stéfanois" en coffret collector. Vous connaissez "les aventures d'un billet de banque" ? C'est top. Et puis "les barbares", French Vallée ! Demain je file à la médiathèque, j'espère qu'il y sera. Et puis je me prendrais bien un William Scheller, tiens.
La photo invisible : moi ! parce qu'il a plu, et que quand il pleut, je suis coiffée comme Bernard Lavilliers (oui, comme sur la pochette des Barbares)