Hiii-iiiii
You-hou, y'a quelqu'un ???
Ca y est, je suis rentrée hier soir, et je me suis un peu ruée sur mon ordi. Bon, je veux bien être raisonnable, faire une cure de désintox forcée, mais y'a des limites. Enfin, j'ai été une brave mère, avant de me précipiter sur canablog, j'ai enfourné quelques tonnes de linge sale dans la machine, plongé deux grands enfants crasseux dans la machine baignoire, fait un repas improvisé -de la semoule-, lu l'histoire du monstre poilu -pas malin pour endormir, parcequ' après les enfants disent bonne nuit maman poil aux dents...
Bon, vous m'avez manqué les filles. D'autant que, vous l'aurez deviné, les trois derniers messages étaient antidatés. Je sais que c'était il y a longtemps, mais puisque la question avait été posée, je confirme, c'était bien le bouquin d'Edwige Antier en bas de la pile. C'est le premier livre de psychologie enfantine que je lis (au troisième il serait temps, je ne fais que constater les énormes erreurs que j'ai commises avec les deux ainés). Je l'écoute le mercredi "dans le poste", en accompagnant les enfants à la gym pour être précise, et j'étais curieuse d'en savoir un peu plus. Me lancer tout de suite dans un livre de Dolto m'intimidait un peu, mais je pense que j'aurais mieux fait. Il y a quelques passages intéressant, notamment sur le mensonge, sur la vérité des enfants et celle des adultes, mais le reste est un peu superficiel. La découverte du séjour, c'est Georges P. Pélécanos, encore du polar américain. J'ai beaucoup aimé Soul Circus, ça se passe à Washington, c'est moins noir que Lehane. En fait, c'est un polar avec une bande son. Chaque personnage est accompagné de morceaux, de références musicales. J'étais servie, car dans ce roman, c'est la soul qui est à l'honneur. En plus, il y a même une discographie à la fin...C'est donc un polar à double détente (ah ah).
Je me suis aussi rendue compte que j'ai complètement merdé dans mon top seven des béguins pour célébrités... J'ai oublié Eric Caravaca
la bouleeeeeettte. Bon, je vous colle une petite photo, et je triche un peu, parce qu'en arrière plan, il y a Bruno Todeschini, et que lui aussi, il est joli garçon comme dirait ma grand-mère (mais je ne l'ai pas mis, parce que, depuis que je sais qu'il se déplace en trotinette-c'est ma mère qui l'a vu- je bloque). Quoi d'autre, j'ai oublié de dire que je savais faire du pain (un an aux US, c'est obligé d'apprendre à faire du pain), ça aurait fait mieux que de dire que je mentais comme une arracheuse de dents...)
Alors quoi d'autre ? Les vacances ont été bonnes, et plus encore. Gîte topissime, région supra cool (mais beauuuucoup trop de touristes à mon goût), des visites de méga top (vraiment, je ne suis pas branchée Cro Magnon, mais Lascaux, je m'en suis mis plein les yeux). Bon, côté tour de taille, je me suis soignée au confit. Certes, c'est gras, certes, il y a 20 milliards de calories à la cuiller, mais il y a des avantages. Le confit, une fois qu'on en a mangé, on n'a pas vraiment envie d'en cuisiner le lendemain (et même les jours d'après). Donc, une fois du confit dans le séjour et basta. Le foie gras, quand il fait chaud et que c'est pas Noël, ça ne me tente pas du tout. Les gésiers, je ne galope pas après. Les aiguillettes, c'est pas si ravageur, et les magrets, rien que l'idée de la graisse qui flotte dans la poële, en plein mois d'août... Donc, "le Périgord, c'est pas la mort" sera le slogan de l'été. Malheureusement, ils font un gâteau aux noix un peu terrible, mais chuuuut.
Ah, c'est très fouillis fouillis tout ça, mon enthousiasme me perdra ! Juste une chose... Il fait froid et moche depuis hier soir, et je crois que le 14 août, c'est trop tôt pour que les vacances soient finies finies. Alors je vais essayer de prolonger un peu, parce que je suis une grosse veinarde moi, et que les cousins italiens m'ont invitée en Toscane. Et puis si je ne trouve rien sur Easy Jet, je me demande si je ne vais pas me refaire un rab' de Vesoul.
La Toscane ou Vesoul...Il y parfois des décisions lourdes de conséquences à prendre dans la vie...