Erreur fatale
Je suis jamais contente : 11 moi sur 12, je geins parce que je ne vois pas assez ma mère, ma soeur : et qu'on est loin, et que c'est pas facile de trouver du temps et que les familles recomposées, et que la famille de Jérôme... Le grand problème, c'est quand vient le temps des vacances en famille, je me demande pourquoi j'ai autant pleurniché !
Résumé des épisodes précédents :
- Ça y est, les transhumances estivales ont commencé. Les deux grands avaient donc été abandonnés aux grands parents, ce qui m'a valu 4 jours de repos thérapeutique et bien mérité. Mais je dois être un peu maso sur les bords, je me suis précipitée avant hier en Franche Comté pour aller les rechercher. Enfin, je repars pas tout de suite : Vesoul, une fois qu'on y est, on reste un peu, c'est loin de tout, faut bien rentabiliser le voyage...
- Je suis donc coincée, me suis donc installée chez ma mère pour quelques jours, j'ai récupéré un mari ravi de son séjour à Prague super fatigué, en attendant l'arrivée de ma frangine avec son fiston tout neuf (Martin, 8 semaines, pas de dents)...
- Et là... ce matin, j'ai eu une révélation : qu'est-ce qui m'a pris de faire ça ??? 10 jours coincée entre ma mère (vous savez, Moumouche, celle qui laisse des commentaires sympathiques, et qui au passage, balance des infos que je ne pensais pas vraiment rendre publiques), et ma soeur (qui va trouver que mes enfants risquent de perturber le sommeil de son fiston, et qui trouve que je laisse trop pleurer Alice).
Et si j'organisais une opération commando avec les enfants, si on allait faire un camp secret dans les bois, sans dire à personne où on va. Bon, pour me détendre et dire du mal de tout le monde, je vous propose le feuilleton de l'été, la saga de juillet :
Juillet à Vesoul, Août chez les Mabouls
Allez, je vais mettre les bières au frais pour demain soir, à demain !